Ma p’tite imprimante 3D Prusa-i3, chouchoutée, victime d’une casse matérielle.
Et on s’en aperçoit quand ? Quand on en a besoin. #Murphy’sLaw
C’est la pièce qui presse le fil contre le système d’entraînement du fil dans l’extrudeur. L’axe n’a pas résisté longtemps au temps. Ou à la manipulation maladroite d’un gars trop pressé de changer de fil. Pas de bonne pression, donc pas de bonne alimentation en matière première, donc productions merdiques : voir le 1er support réalisé pour le NanoPi…
La pièce, après démontage, se révèle bien fendue.
Mais bon, vus les efforts qu’elle subit et la façon dont elle a été fabriquée, c’est pas étonnant. Le plastique est « coulé » en couches successives, alors quand on tire trop dessus, on risque la perte d’adhérence.
Peut-être qu’en posant le modèle 3D comme sur la photo ci-dessus pour l’impression, on pourrait éviter ces ennuis… Voilà peut-être une piste à suivre?
Au Labsud, on m’a gentiment prêté une pièce de secours (merci Frafra!!)…L’entraide, esprit fondateur des fablabs, allez donc faire un tour à labsud.org ils sont formidables.
Le temps de sortir (réimprimer) de quoi être tranquille.
Aussitôt prise, aussitôt remplacement de la pièce! Et impression immédiate de ses petites sœurs, toujours en SmartABS gris (où je constate que j’ai refait la même erreur de positionnement du modèle 3D) :
J’aime cette magie de la création d’objet, la petite musique des moteurs pas-à-pas de l’imprimante 3D qui guident l’extrudeur.
Zou, avec ça, plus qu’à découper le « brim » (c’est la première couche de support qui colle au verre), et nettoyer un peu la pièce.
Retour plus tard pour le design d’un boîtier décent pour le NanoPi, dès que j’aurai un peu de temps devant moi.
PS: Murphy a encore frappé, puisque un choc thermique a fendu le carreau de verre qui supporte les impressions. #Damned , la voilà à nouveau en rade.