Proxy PAC sous Linux, c’est possible

Ubuntu LogoDans les grosses organisations, l’accès à Internet se fait souvent via un serveur mandataire (parfois proxy PAC).
Pour une machine sous Linux, configurer un service qui a besoin d’accéder à Internet est assez facile. La plupart du temps, il suffit de renseigner la variable d’environnement
http_proxy=http://monproxy:3128
(si 3128 est le numéro de port du proxy à attaquer), et zou!

Indispensable, ne serait-ce que pour permettre au système d’entretenir ses mises-à-jour (système apt sur Debian par exemple).
ET SI…. la « politique » de proxy pour l’accès internet est distribuée par un fichier « proxy.pac »? Qu’est-ce donc?

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Se connecter au NanoPi, howto?

Quand le bestiau NanoPi n’est pas « souvent » utilisé (quand on a d’autres activités qui nous éloignent de nos jouets), les modes opératoires sont oubliés, le savoir-faire disparaît.

DSC_0677 NanoPiDéjà, l’allumer… Et oups, comment s’y connecter, sur quelle IP?

La diode verte est allumée fixe, OK. La diode bleue clignote!! c’est grave?

Dans les articles précédents, mais qui datent un peu, le NanoPi avait été configuré pour se connecter à un réseau WiFi déterminé. Suuuuper!, mais ça ne donne pas l’adresse IP.
Par contre, l’adresse MAC de l’interface avait été relevée (débute par la séquence 04:E6), donc un petit scan réseau devrait le faire:

sudo nmap -sP 192.168.0.1-250

C’est (très) bestial, et pas instantané.

Mais, soyons un peu plus futé, puisque nous sommes sur le même LAN… La table de routage IP doit pouvoir nous aider. Appuyons-nous sur celle-ci, filtrée avec l’info d’adresse MAC (qui contient « 04:E6 »). On peut attraper directement l’adresse IP associée:

arp -n|grep -i "04:E6"|awk '{print $1}'

 

Et voilà, c’est magique! Un SSH sur l’IP résultante, connexion réalisée, on peut bosser.

Et tant que j’y pense cette séquence se transpose sympathiquement pour obtenir l’adresse IP de tout dispositif qui a une IP dynamique (cas fréquent) alors qu’on dispose tout de même de l’adresse MAC sous la main (ou sous le boîtier).

Zou, portez-vous bien !

Ya pas que Python et Java dans la vie

Gambas-logo3En logiciel libre, on peut aussi coder avec plein d’autres langages.

Là, un peu d’atypique, pour changer du C/C++, Shell, PHP & Co, regardez un peu ça:

  • faire du à peu près « Visual BASIC » sur Linux: vous avez un environnement de développement libre, GAMBAS
    http://gambas.sourceforge.net/en/main.html

  • ou faire du « Delphi » avec LAZARUS !
    On peut coder en Pascal, en Delphi. Il permet même de récupérer et migrer des projets Delphi
    C’est du GPL, il y a un installeur deb, rpm, OSX, win32!
    http://www.lazarus-ide.org/
    http://sourceforge.net/projects/lazarus/files/Lazarus%20Linux%20amd64%20DEB/Lazarus%201.4.4/

NanoPi (Raspberry-PI miniature) avec Debian

C’est plus fort que moi, je n’ai pas pu résister à l’acquisition de ce bidule sorti début août 2015.nanopi

Les spécifications sont assez sympa:

  • CPU Samsung S3C2451 à 400MHz
  • RAM: 64Mo DDR2 (ok, ok, ça fait faiblard)
  • Chip intégré pour WiFi et Bluetooth
  • I/O: 1 USB type A, 1 port série pour debug, 1 port microSD
  • 1 port microUSB qui sert pour l’alimentation ET data (port série ou Ethernet)
  • interface LCD, interface caméra DVP
  • 40pin de GPIO compatibles avec ceux du Raspberry Pi (UART, SPI, I2C…)
  • 12pin de GPIO supplémentaires: I2S, I2C, UART
  • Dimensions: 75 x 30 mm²
  • Alimentation en 5v
  • Supporte a priori : u-boot, GNU/Linux 4.1, et Debian

Ce post rassemble mes notes sur le déballage, puis installation Debian et configuration WiFi…

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Relevé de conf système Linux avec inxi

inxiUn peu barbare « inxi », mais c’est la commande qui déchire du jour.
En ligne de commande dans son terminal favori, permet d’afficher simplement les caractéristiques d’un Linux (mais personnalisable avec une tonne et 1/2 d’options). Facile pour la jouer « DevOps », on peut attraper une foule d’infos fort utiles sur sa machine libre!
Avec Ubuntu ou Debian, ça s’installe comme ça:

apt-get install inxi

Et après c’est facile à utiliser, selon ce qu’on veut. Par exemple un rendu assez complet des caractéristiques du système cible (Full, avec en plus les informations des repositories actifs), taper en terminal:

 inxi -Fr

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