Dual-boot Ubuntu sur ultrabook

L’idée est d’installer Ubuntu dernière version sur un ultrabook (ultra portable), tout en gardant quelque part le Windows10 livré d’origine.
Donc « dual-boot », passant par la réduction de la partition Windows.

Remarque: rédaction le 27/12/2016, avec les méthodes du moment

Découverte de la machine ultrabook

Les ultrabooks sont des des PC portables optimisés sur le poids et la capacité de transport: moins de 2kg, écran de taille modeste.

Ce n’est donc pas une machine de guerre, ni une console de jeux. Rappelons-nous, il y a quelques années le Asus eeePC créait un marché avec des machines ultra-portables. Aujourd’hui, plusieurs modèles de PC portables occupent la place ouverte par le célèbre Macbook-Air sur le marché haut de gamme:

  • DELL XPS 13 , par exemple le modèle 9350: surpuissant mais léger
  • Asus ZenBook 3 en 12 pouces, moins de 1kg sur la balance et des performances exceptionnelles

Préparation pour recevoir Ubuntu

Préparer Windows10

Pour les manipulations à suivre, il faut défaire certains paramètres systèmes Windows de base: Désactivation du Fast-boot Windows absolument nécessaire, activation de l’affichage des fichiers cachés et système

Suppression temporaire: hiberfile.sys and co

Réduction partition Windows

Défragmentation successive avec « Defraggler » puis « UltraDefrag » (sourceForge) pour déplacer le MFT, puis Defraggler

Puis réduction avec le gestionnaire de disque.

Remise du Windows à un état normal

Réactivation des éléments Windows: hibernation, PageFile, « System protection »

  • hibernation: « powercfg /h on » dans un terminal lancé en administrateur: Win+X puis « Invite de commandes (admin) »
  • PageFile: Win+R  …. , onglet « avancé », cocher « Gestion automatique du fichier d’échange pour les lecteurs »
  • System protection: Win+R …, onglet « protection du système », sélection du disque C:, bouton « Configurer », sélectionner « Activer la protection du système » puis appliquer et OK.
  • reboot !

Re-masquage des fichiers cachés et système.

Création des partitions pour Ubuntu

Démarrage avec Ubuntu live depuis la clé USB. Comment faire? Un tutoriel fort bien fait:

https://libreaquimperle.blogspot.fr/p/redemarrer-en-mode-efi-avec-windows.html

Mais surtout utile ici: https://libreaquimperle.blogspot.fr/p/windows-10.html

Donc, avec la clé USB de boot Ubuntu16.10 insérée : dans l’écran paramètres (icône « engrenages » dans le menu démarrer): choisir « Mise à jour et sécurité » (icône de recyclage): onglet « Récupération » cliquer sur le bouton « Redémarrer maintenant » du chapitre de démarrage avancé.
Un écran bleu apparaît…. Stress… Il s’agit de choisir une option parmi 4 : « Utiliser un périphérique » est celle qu’il faut, puis choisir « UEFI Removable Device »

ça démarre, faire le partitionnement avec gparted

Regénérer les indexes i-Parapheur

logo i-parapheur_300pxL’application i-Parapheur v4.x, sous le capot, s’appuie toujours sur un moteur de GED « Alfresco Community 3.4.c » jusqu’à présent. Ce moteur de GED est utilisé en boîte noire, c’est-à-dire que les capacités de GED pure et de workflow sont rendues inaccessibles à l’utilisateur.

Alfresco se révèle très efficace pour tout un tas de fonctions, mais subit aussi un certain nombre de bugs, notamment du moteur de recherche qui a tendance à se corrompre dans cette version. C’est dû le plus souvent à des pics de charge qui sont mal digérés par LUCENE. Une seule porte de sortie efficace: re-générer les indexes du moteur de recherche.

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Proxy PAC sous Linux, c’est possible

Ubuntu LogoDans les grosses organisations, l’accès à Internet se fait souvent via un serveur mandataire (parfois proxy PAC).
Pour une machine sous Linux, configurer un service qui a besoin d’accéder à Internet est assez facile. La plupart du temps, il suffit de renseigner la variable d’environnement
http_proxy=http://monproxy:3128
(si 3128 est le numéro de port du proxy à attaquer), et zou!

Indispensable, ne serait-ce que pour permettre au système d’entretenir ses mises-à-jour (système apt sur Debian par exemple).
ET SI…. la « politique » de proxy pour l’accès internet est distribuée par un fichier « proxy.pac »? Qu’est-ce donc?

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Fan du ‘git lol’ pour des logs jolis

Logo GITAh, la veille techno! Fureter sur la toile, rire / pester / s’indigner / admirer au fil de la curiosité et des clics de souris. Et twitter ce qui nous a intéressé.

Soudain déboucher sur un bout de stackoverflow.com, pour découvrir une nouvelle commande: git lol

Essayer, y trouver un intérêt.

Enfin, envie de partager la trouvaille… Enjoy 🙂

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Partition /boot saturée sur Ubuntu

Ubuntu LogoSalut les as du boot !

Alors comme ça, on ne surveille pas son parc de machines ? Et on a laissé un peu trop longtemps ses bécanes installer automatiquement les mises à jour de sécurité, y compris les nouvelles versions de kernel?

Ainsi, à force de laisser-faire, les mises à jour ont fini par saturer la maigre partition « /boot ». En flinguant au passage la dernière mise à jour qui évidemment n’a pu aboutir. Oui, ça m’est arrivé aussi… looser.

Deux actions donc dans l’ordre : réparer les dégâts, puis faire en sorte que ça n’arrive plus.
Si cela a l’air facile dans le texte, pas si simple une fois les mains dans la console…

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Forcer l’adresse IPv4 pour Tomcat et MySQL

mysqlPour mes clients, je déploie pas mal de services TOMCAT 6 ou 7 et MySQL, sur des serveurs pour lesquels une adresse IPv4 et une autre IPv6 sont configurées.

99% des cas, IPv6 n’est pas « valorisé »: il est activé par défaut sur les serveurs GNU/Linux, mais absolument pas utilisé.
Malheureusement, il arrive des cas où le connecteur Tomcat ne fait pas le bind sur les deux interfaces, et met par conséquent en péril la sûreté de fonctionnement de l’interface en IPv4 dont on a besoin. Idem pour la connexion vers MySQL qui est parfois aléatoire à cause de cette coexistence. Rare, mais pas impossible.

Quelques truc pour éviter ça…

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Migration i-Parapheur d’un serveur à un autre

logo i-parapheur_300pxUn peu de DevOps, avec une méthode de migration i-Parapheur qui marche…

Souvent, un environnement applicatif a besoin d’être existant en plusieurs exemplaires :

  • Nominal (de production): évidemment, pour le service actif
  • Test: pour reproduire des anomalies au calme, ou tester des versions non qualifiées
  • … et autres selon les besoins: formation, pré-prod… selon la politique d’exploitation « devops » en vigueur

…Avec cette démultiplication d’applications identiques, et des contextes d’usages différents, mais des besoins voisins!
Par exemple, une configuration validée en environnement de test cherchera à être dupliquée vers la production. Ou inversement, on aimera être capable de vérifier si une nouvelle version d’application fonctionne toujours avec le contexte de production: donc dupliquer le contexte production vers l’environnement de test.

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Alfresco et les accents, UTF-8 mon amour

Alfresco est un outil de GED libre (FLOSS, logiciel libre) formidable, pour peu qu’il soit déployé correctement.

pub-BeerIl suffit de peu de chose pour être frustré: nominalement tout roule, et pis quand on en vient à faire des choses sérieuses un peu aux limites avec des données « de production »: ça coince!
Souvent c’est la faute des caractères accentués chelous, dans le contenu ou carrément dans le nom de fichier,  voire le nommage de répertoire (a.k.a. « espace Alfresco ») qui fiche la pagaille.
Ajoutez à ça la volonté de s’intégrer à des systèmes externes et de placer des passerelles SMB/CIFS ou pire CMIS, c’est le carton assuré.

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Goodies à gogo sur Docker

docker-small_v-transLa technologie de conteneurs Docker (site officiel éponyme https://www.docker.com  ) bouleverse les habitudes des équipes de développement, de test, de déploiement, d’exploitation, de « DevOps »…

C’est quoi Docker ?

C’est une approche alternative et novatrice dans le processus de packaging et déploiement d’applications (web), prenant en hypothèse:

  • Les exploitants ne devraient pas de préoccuper de la façon dont les conteneurs sont construits, ni ce qu’ils contiennent (!!). Et devraient les considérer comme des boites-noires (appliances) interconnectées les unes aux autres.
  • Les conteneurs sont construits par les développeurs, et utilisés tels quels partout (ça sent le miracle promis par Java à une certaine époque: « write once, run anywhere »). Partout ça veut dire: en test, dev, et en production.
  • On ne met pas une application à jour, on la redéploie: ça implique une gestion fine des éventuels paramètres de configuration.
  • Ces applications devraient être publiées en entrepôt (docker « registry« ).

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Plugins JAVA, la fin est si proche

dead-endLes annonces pleuvent sur les applets Java, les utilisateurs font grise mine! (billet mis à jour en Fév. 2017)

Google Chrome en septembre 2015, Mozilla Firefox en cours d’abandon, Microsoft Edge….
Chaque éditeur apporte sa pierre sur la tombe du greffon d’applets JAVA, en supprimant l’accès à la technologie NPAPI inventée par Netscape dans les années 90.

Récapitulons dans ce billet:

  • les versions de « plugin Java » dans la nature,
  • la position d’Oracle/Sun, de Google / Microsoft / Mozilla,
  • et tenter de dégager la tendance à venir.

Courage, ça va bien se passer  😉

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